
Terminé fini le 01/01/1998
Terminé fini le 01/01/1998
Porteur du projet :
Partenaires du projet :
Régions participantes :
Le projet portait sur la réaliation d’une étude de faisabilité pour la réouverture de la ligne ferrée entre Colmar et Freiburg.
Cette étude s’est basée sur les résultats d’une enquête réalisée auprès des voyageurs transfrontaliers (automobilistes et usagers des transports publics). L’expertise a montré que la construction d’un pont pour la réouverture de la ligne ne se justifiait qu’à partir de 6.600 voyageurs par jour. Grâce à un bon système de trafic secondaire en rabattement, on a espéré augmenter le trafic de voyageurs. Le trafic de marchandises à lui seul ne justifiait pas la réouverture du tronçon Colmar-Freiburg en tant que liaison ferroviaire transfrontalière.
Cette étude a permis aux partenaires français et allemands de définir des champs de compétence de chaque instance engagée dans cette réflexion.Le projet portait sur la réaliation d’une étude de faisabilité pour la réouverture de la ligne ferrée entre Colmar et Freiburg.
Cette étude s’est basée sur les résultats d’une enquête réalisée auprès des voyageurs transfrontaliers (automobilistes et usagers des transports publics). L’expertise a montré que la construction d’un pont pour la réouverture de la ligne ne se justifiait qu’à partir de 6.600 voyageurs par jour. Grâce à un bon système de trafic secondaire en rabattement, on a espéré augmenter le trafic de voyageurs. Le trafic de marchandises à lui seul ne justifiait pas la réouverture du tronçon Colmar-Freiburg en tant que liaison ferroviaire transfrontalière.
Cette étude a permis aux partenaires français et allemands de définir des champs de compétence de chaque instance engagée dans cette réflexion.Le projet portait sur la réaliation d’une étude de faisabilité pour la réouverture de la ligne ferrée entre Colmar et Freiburg.
Cette étude s’est basée sur les résultats d’une enquête réalisée auprès des voyageurs transfrontaliers (automobilistes et usagers des transports publics). L’expertise a montré que la construction d’un pont pour la réouverture de la ligne ne se justifiait qu’à partir de 6.600 voyageurs par jour. Grâce à un bon système de trafic secondaire en rabattement, on a espéré augmenter le trafic de voyageurs. Le trafic de marchandises à lui seul ne justifiait pas la réouverture du tronçon Colmar-Freiburg en tant que liaison ferroviaire transfrontalière.
Cette étude a permis aux partenaires français et allemands de définir des champs de compétence de chaque instance engagée dans cette réflexion.Le projet portait sur la réaliation d’une étude de faisabilité pour la réouverture de la ligne ferrée entre Colmar et Freiburg.
Cette étude s’est basée sur les résultats d’une enquête réalisée auprès des voyageurs transfrontaliers (automobilistes et usagers des transports publics). L’expertise a montré que la construction d’un pont pour la réouverture de la ligne ne se justifiait qu’à partir de 6.600 voyageurs par jour. Grâce à un bon système de trafic secondaire en rabattement, on a espéré augmenter le trafic de voyageurs. Le trafic de marchandises à lui seul ne justifiait pas la réouverture du tronçon Colmar-Freiburg en tant que liaison ferroviaire transfrontalière.
Cette étude a permis aux partenaires français et allemands de définir des champs de compétence de chaque instance engagée dans cette réflexion.Le projet portait sur la réaliation d’une étude de faisabilité pour la réouverture de la ligne ferrée entre Colmar et Freiburg.
Cette étude s’est basée sur les résultats d’une enquête réalisée auprès des voyageurs transfrontaliers (automobilistes et usagers des transports publics). L’expertise a montré que la construction d’un pont pour la réouverture de la ligne ne se justifiait qu’à partir de 6.600 voyageurs par jour. Grâce à un bon système de trafic secondaire en rabattement, on a espéré augmenter le trafic de voyageurs. Le trafic de marchandises à lui seul ne justifiait pas la réouverture du tronçon Colmar-Freiburg en tant que liaison ferroviaire transfrontalière.
Cette étude a permis aux partenaires français et allemands de définir des champs de compétence de chaque instance engagée dans cette réflexion.