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Terminé
fini le 01/01/2001
Coût global du projet106 714 €
Coût éligible du projet85 984.83 €
Cette étude visait à diversifier les possibilités d’accès à l’aéroport de Bâle-Mulhouse, pour lequel existait seulement un accès routier, utilisé par les navettes organisées selon des fréquences variables depuis Bâle, Colmar-Mulhouse et Freiburg.
Un comité de pilotage et un groupe de travail ont été constitués, comprenant des représentants des partenaires. Le groupement retenu suite à un appel public à la concurrence a procédé à l’étude en 3 phases successives :
1. analyse et quantification des flux de déplacements,
2. dimensionnement du système de transport collectif,
3. validation du scénario retenu.
Chaque phase a été validée par le comité de pilotage. La première phase a abouti, entre autres, à une estimation de 8,5 millions de passagers par an en 2020. Cela correspond, étant donné les personnels et le contexte de l’aéroport, à une fréquentation de 1.000 à 1.500 personnes aux heures de pointe dans chaque direction.
La deuxième phase a étudié 4 scénarii possibles de desserte :
1. navette routière depuis la gare de Saint-Louis,
2. déviation des lignes de train existantes sans franchissement de l’autoroute A 35,
3. déviation des lignes de train existantes avec franchissement de l’A 35 et accès aux halls de départ et d’arrivée de l’aéroport par des trottoirs roulants,
4. déviation des lignes de train existantes, franchissement de l’A 35 et gare accolée à l’aéroport. La 3ème phase a abouti aux conclusions suivantes : le scénario 1 est le moins cher et peut être réalisé à cort terme ; le scénario 4 est le plus intéressant pour les voyageurs et offre une perspective à moyen et court terme.Cette étude visait à diversifier les possibilités d’accès à l’aéroport de Bâle-Mulhouse, pour lequel existait seulement un accès routier, utilisé par les navettes organisées selon des fréquences variables depuis Bâle, Colmar-Mulhouse et Freiburg.
Un comité de pilotage et un groupe de travail ont été constitués, comprenant des représentants des partenaires. Le groupement retenu suite à un appel public à la concurrence a procédé à l’étude en 3 phases successives :
1. analyse et quantification des flux de déplacements,
2. dimensionnement du système de transport collectif,
3. validation du scénario retenu.
Chaque phase a été validée par le comité de pilotage. La première phase a abouti, entre autres, à une estimation de 8,5 millions de passagers par an en 2020. Cela correspond, étant donné les personnels et le contexte de l’aéroport, à une fréquentation de 1.000 à 1.500 personnes aux heures de pointe dans chaque direction.
La deuxième phase a étudié 4 scénarii possibles de desserte :
1. navette routière depuis la gare de Saint-Louis,
2. déviation des lignes de train existantes sans franchissement de l’autoroute A 35,
3. déviation des lignes de train existantes avec franchissement de l’A 35 et accès aux halls de départ et d’arrivée de l’aéroport par des trottoirs roulants,
4. déviation des lignes de train existantes, franchissement de l’A 35 et gare accolée à l’aéroport. La 3ème phase a abouti aux conclusions suivantes : le scénario 1 est le moins cher et peut être réalisé à cort terme ; le scénario 4 est le plus intéressant pour les voyageurs et offre une perspective à moyen et court terme.Cette étude visait à diversifier les possibilités d’accès à l’aéroport de Bâle-Mulhouse, pour lequel existait seulement un accès routier, utilisé par les navettes organisées selon des fréquences variables depuis Bâle, Colmar-Mulhouse et Freiburg.
Un comité de pilotage et un groupe de travail ont été constitués, comprenant des représentants des partenaires. Le groupement retenu suite à un appel public à la concurrence a procédé à l’étude en 3 phases successives :
1. analyse et quantification des flux de déplacements,
2. dimensionnement du système de transport collectif,
3. validation du scénario retenu.
Chaque phase a été validée par le comité de pilotage. La première phase a abouti, entre autres, à une estimation de 8,5 millions de passagers par an en 2020. Cela correspond, étant donné les personnels et le contexte de l’aéroport, à une fréquentation de 1.000 à 1.500 personnes aux heures de pointe dans chaque direction.
La deuxième phase a étudié 4 scénarii possibles de desserte :
1. navette routière depuis la gare de Saint-Louis,
2. déviation des lignes de train existantes sans franchissement de l’autoroute A 35,
3. déviation des lignes de train existantes avec franchissement de l’A 35 et accès aux halls de départ et d’arrivée de l’aéroport par des trottoirs roulants,
4. déviation des lignes de train existantes, franchissement de l’A 35 et gare accolée à l’aéroport. La 3ème phase a abouti aux conclusions suivantes : le scénario 1 est le moins cher et peut être réalisé à cort terme ; le scénario 4 est le plus intéressant pour les voyageurs et offre une perspective à moyen et court terme.Cette étude visait à diversifier les possibilités d’accès à l’aéroport de Bâle-Mulhouse, pour lequel existait seulement un accès routier, utilisé par les navettes organisées selon des fréquences variables depuis Bâle, Colmar-Mulhouse et Freiburg.
Un comité de pilotage et un groupe de travail ont été constitués, comprenant des représentants des partenaires. Le groupement retenu suite à un appel public à la concurrence a procédé à l’étude en 3 phases successives :
1. analyse et quantification des flux de déplacements,
2. dimensionnement du système de transport collectif,
3. validation du scénario retenu.
Chaque phase a été validée par le comité de pilotage. La première phase a abouti, entre autres, à une estimation de 8,5 millions de passagers par an en 2020. Cela correspond, étant donné les personnels et le contexte de l’aéroport, à une fréquentation de 1.000 à 1.500 personnes aux heures de pointe dans chaque direction.
La deuxième phase a étudié 4 scénarii possibles de desserte :
1. navette routière depuis la gare de Saint-Louis,
2. déviation des lignes de train existantes sans franchissement de l’autoroute A 35,
3. déviation des lignes de train existantes avec franchissement de l’A 35 et accès aux halls de départ et d’arrivée de l’aéroport par des trottoirs roulants,
4. déviation des lignes de train existantes, franchissement de l’A 35 et gare accolée à l’aéroport. La 3ème phase a abouti aux conclusions suivantes : le scénario 1 est le moins cher et peut être réalisé à cort terme ; le scénario 4 est le plus intéressant pour les voyageurs et offre une perspective à moyen et court terme.